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26. 10. 1858

lf. Nr.

Aussteller

F. S.

Empfänger

amie A.

Ma chère et bonne amie, je sens tres bein les reproches que nous puissez me faire justement, et je me les applique sans relâche. Mais quiconque merite des reproches se sent aussi de la lâcheté à les radomir pour( ?) quelques encuses plus ou moins justes.
Vous aurez appris pas Emilie l’ incendu qui nous a reduit dans une consternation extrême. Elle vous aura dit que le quatre Juillet apres minuit nous étions( ?) tous prets d’ être brulés. Nous sonnes à peuprets( ?) à plus du deux cents pas du village de Mo>tin et d’ une demie lieue de Cze\tin, encore plus isolés que vous. La ville de Kla¾au est à une liene de nous et queique( ?) durant le jour les ha-bitantes de Kla¾au, presque tous les officiers du huitième regiment des Hussards, les officiers Gensdarmes, que( ?) tous les employés frequentent notre maison, comme si elle était tout prìs( ?), nous etions( ?) totalement abandonnés cette nuit, le repos nocturne de Kla¾au etant cette nuit inaltérable.

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